La Certitude du Sol – SUR LES RAILS

Avant toute chose, merci à chacun d’entre vous d’avoir pris le temps de lire mon dernier texte Danielle jusqu’à la fin du monde et tout particulièrement à celles et ceux qui m’ont fait d’aussi agréables retours. Votre attention m’honore et j’ai été particulièrement ému par les messages que j’ai reçus. Merci Vincent, Zoé, Clément, Gaëlle, Juliette, Romane, Nicolas, Kévin, Coline et Raphaël (j’espère n’oublier personne…), vous n’imaginez pas à quel point cela m’a redonné confiance en moi !

Quoi qu’il en soit, il convient de vous donner quelques nouvelles de cette fameuse nouvelle que je rédige depuis juillet. Elle arrive. Patience. Mon rythme d’écriture souffre de quelques irrégularités, mais je suis sur la dernière ligne droite ! Quant à la première BD que j’ai eu la chance de scénariser avec David Vocella au dessin… Elle est bientôt imprimée ! Hâte de vous en dire plus !!

Pour patienter, je vous ai écrit un court texte intitulé La Certitude du Sol ; commencé hier et terminé depuis à peine dix minutes, j’espère qu’il vous amusera autant sa rédaction m’a amusé.

Prenez soin de vous,

Lazare

Une réponse

  1. J’aime bien cette idée de certitude du sol. Cette sorte de déclaration d’amour à la Terre.

    « Le sol c’est une main amie qui vient nous retenir dans une chute infinie ». Tu rappelles avec douceur cette certitude que l’on oublie trop souvent. Les images du parquet chaud, de la pelouse fraîche ou même du dos des baleines donnent à ta réflexion une poésie discrète tout en restant ancrée dans le concret !

    Tu en parles avec humour, évidemment faut que ça reste Lazarien, mais derrière il y a une vraie réflexion.

    À défaut de déterrer Albert Camus (j’aurai pu.) cette fois-ci, j’ai creusé davantage mes maigres connaissances. As-tu été inspiré par Deleuze dans ses idées autour des surfaces mouvantes qui offre une certaine relecture, une possible continuiter de la pensée de Nietzsche autour de son invitation à ne pas maudire la chute, mais à l’accueillir comme partie de la vie ?

    Bref, pardon, je commence à trop faire mon Bernard. Tout ça est sérieux sans se prendre au sérieux. On dirait un petit morceau de philosophie écrit en terrasse un verre à la main, face au soleil, je l’espère !

    Vincent H.

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